• Les derniers films vus {1}

    Ces derniers temps, j’ai eu l’occasion de voir quelques films qui m’ont plus ou moins plu et dont j’ai eu envie de vous parler. En même temps de me forcer à en voir de nouveaux (je ne suis pas très branchée cinéma…) je peux du coup vous présenter de nouvelles choses et je ne dis pas non à la nouveauté. Aujourd’hui, je vous en présente 3.
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    The perks of being a wallflower (Le Monde de Charlie)

    Après avoir lu le billet de Lilla sur les livres et le film du Monde de Charlie, j’ai eu aussitôt envie de le regarder plus tôt que prévu. J’en avais un peu entendu parler et il me tentait bien, étant comme beaucoup de monde friande de « films d’ados américains » (qui existent à la pelle). 
    Je n’ai pour l’instant vu que le film et pas lu le livre. J’essaierai certainement de le lire lorsque j’aurai un peu plus de temps pour moi pour lire d’autres livres que ceux que j’utilise pour mes révisions. Cependant, en ayant uniquement vu le film, je peux déjà dire que je l’ai beaucoup aimé.
    C’est une histoire assez banale au premier abord, le contexte se place dans un lycée américain, rien de plus. Charlie, le personnage principal est quelqu’un qui adore lire, il est d’ailleurs assez lié à son professeur de littérature qui lui conseille une foule de livre tout au long de sa scolarité. Il vient d’arriver dans un lycée et est plutôt seul aussi, mais finit par se lier d’amitié à Patrick et Sam avec qui il va découvrir toutes les joies de tout bon ado américain qui se respecte. 
    On pourrait s’arrêter là, mais ce film ce n’est pas seulement ça. Ce n’est pas un bête film pour ado creux et sans saveur comme on peut en voir sortir partout et tout le temps. C’est aussi une histoire où on y trouve des émotions, des vraies. Passant de la joie à la tristesse et tout ça en étant assez bien fait, les dialogues sont beaux, la bande son colle à merveille au film et certaines sont à prendre et à coller à ses oreilles non stop d’ailleurs. Moi qui m’intéresse peu au casting, j’avoue là que les acteurs étaient bien choisis. Logan Lerman incarne Charlie (très bien du coup), Emme Watson incarne elle Sam tandis que c’est Ezra Miller qui incarne Patrick.
    En résumé, oui j’ai vraiment bien aimé (et mon copain aussi, qui était content que je lui fasse voir un film qu’il a apprécié, pas comme Never Let Me Go pour lequel il m’a haï pendant des semaines :D).Il se regarde facilement et n’ennuie pas une minute et rien que pour ça, je lirai le livre, rien que pour voir quels mots ont été choisis pour quelles émotions, parce que d’après tout ce que j’entends (la version originale, en anglais donc) est plutôt pas mal du tout.
    En attendant je vous le conseille très fortement si vous ne l’avez pas encore vu !
    18/20

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    God Bless America

    Après avoir vu Le Monde de Charlie, j’ai vu un registre assez différent. God Bless America, c’est une bonne comédie (interdite aux moins de 12 ans) qui met en scène Franck, fraîchement sans emploi et terriblement seul accompagné en plus d’une bonne grosse maladie. Franck vomit l’Amérique en la voyant se détériorer chaque jour à la TV à travers télé-réalités, reality shows et autres joyeusetés mièvres. Son rêve ? Exterminer chaque personne inutile pour enfin vivre dans un monde paisible et intelligent.
    C’est en apprenant qu’il est malade qu’il part s’acheter une arme pour commencer son travail, très rapidement rejoint par une lycéenne complètement dingue, Roxy, qui veut absolument le suivre dans son périple et tuer elle aussi toutes les sources de bêtises que les USA nous procurent.

    Ce film, c’est un concentré de sang, de rires et de satisfaction de voir la bêtise Américaine réduite en poudres (no offense pour les fanatiques des USA).

    Clairement, ce film ne se regarde absolument pas sérieusement, c’est une énorme satire mais à la fois une petite part de dénonciation face à une bêtise qui est réelle, et pas seulement là bas. Le gore n’est même pas dérangeant tant il est exagéré (et pourtant je fuis toute forme de violence que ce soit à la télé que dans un film).

    Si vous avez envie d’une soirée pop corns/soda, je vous conseille ce film. Il n’est pas non plus exceptionnel mais il a le mérite d’être marrant, franchement barré mais assez bien tourné puisqu’au delà du comique du film, il y a quand même une forme de découragement dans Franck (joué par Joel Murray) qui est assez réaliste et Roxy jouée par Tara Lynne Barr est disons le… complètement folle.

    15/20 
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    Ted
    Enfin, pour finir ce billet (il y en aura un autre promis, j’ai quelques autres films en stock dont je dois vous parler) j’ai eu envie de vous parler de Ted.
    Ted c’est un film comique qui est sorti l’été dernier et qui a été pas mal vendu en France puisque c’est Joey Starr qui s’occupe du doublage de Ted, l’ours en peluche (et ça… je m’en fichais pas mal, je ne comptais même pas le regarder au départ). C’est une histoire presque banale : A 8 ans, John Bennett (Mark Wahlberg) fait le vœu de rendre vivant son ours en peluche. Une étoile filante passe et miracle, l’ours vit (ce n’est pas un spoil puisque… c’est le film). 
    On suit du coup leur évolution (qui passe rapidement à l’âge adulte, l’âge crucial où tout se passe) où les deux meilleurs amis passent de déboires en déboires tout en vivant autour de Lori (jouée par Mila Kunis), la petite amie de John qui n’est évidemment pas spécialement enchantée à cette idée. Je ne peux vous en dire plus au risque de dévoiler « l’intrigue ».
    Ce film est sympa, il ne casse pas non plus trois pattes à un canard, est certainement plus fait pour les mecs que pour les filles vu qu’il est presque essentiellement constitué d’humour bien gras et lourd. Mais quand même il se regarde, je ne le classerai pas dans mon top du siècle mais j’avoue que je l’ai trouvé assez drôle à certains moments (quand on se met dans la peau d’un mec, je le répète). 
    J’ai toujours rêvé de pouvoir discuter avec mon ours en peluche mais j’avoue qu’en voyant cet ours là… j’ai revu mes ambitions à la baisse et je vais me contenter de continuer à parler à Carotte (mon ours en peluche, on ne se moque pas du nom elle est géniale (oui c’est une oursette du coup)) sans espérer de réponse de sa part.
    Si vous vous prévoyez une soirée entre potes, notez ce film sur votre liste. Il vous fera sûrement marrer accompagné de 2-3 bières et de chips à grignoter.
    11/20 
    J’ai essayé de noter les films mais en vrai je suis nulle pour donner des notes et savoir si j’ai aimé/adoré/adulé quand quelque chose me plaît à peu près. Du coup c’est exhaustif mais c’est à peu près ça. Rendez-vous au prochain billet sur les derniers films que j’ai vu ! (il y en a 3 autres dont je dois vous parler)
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  • The Golden Age {Woodkid}

    Le 10 mars dernier, on avait la possibilité d’écouter en streaming gratuit le dernier album de Woodkid, The Golden Age. Je vous en ai déjà parlé ici, et vous le savez, j’adore Woodkid. J’étais absolument ravie de cette possibilité de pouvoir découvrir les titres « en avant-première » et je n’ai pas été déçue, loin de là ! Comme je l’espérais, chaque morceau est sublime et rempli de cette émotion que j’aime tant. A la base, je comptais inclure cette écoute dans le billet de mes favoris de Mars, mais elle aurait été beaucoup trop imposante, du coup je me suis dit qu’un avis à vif écrit lors de ma première écoute pourrait être sympa à faire, et que je le publierai seul (je tiens aussi également à préciser que je suis loin d’être calée en critique musicale, je donne là simplement un avis très personnel comme toute bonne néophyte que je suis en qualificatifs musicals et autres critiques pseudo approfondies).

    Ce billet pourrait apparaître comme un doublon puisque je reparle d’un même artiste mais… en fait non. C’est une suite logique, je vous avais parlé de ce prochain album et écrire un billet à ce propos me paraissait être bien tant pour moi, pour pouvoir peut être encore mieux écouter chacun des morceaux mais aussi pour vous faire découvrir encore un peu ce que je vous avais suggéré.
    Vu qu’il est maintenant sorti, je me suis dit que ce serait sympa de publier mon avis.

    The Golden Age, celle qui a donné nom à l’album est aussi celle qui ouvre la marche. Une introduction au piano, la voix qui vient presque tout de suite et des promesses avec qui suggèrent une jolie suite, elle a cette impression de donner comme de l’espoir, quelque chose que l’on retrouve très souvent dans les morceaux de Woodkid. C’est un de ces morceaux qui font se sentir un peu remué tout en étant calme. Mais ça, c’est l’introduction, puisque la suite est plus dynamique, très théâtrale et ce contraste est très beau à écouter. Cuivres, percussions et piano, tout est très joliment accordé ensemble, et au final, ce premier morceau annonce la couleur de l’album.
    Comme on a pu l’entendre dans une de ses interviews, ce contraste exprime parfaitement l’esprit même de l’album. The Golden Age signifiant pour lui la transition entre l’enfance et l’âge adulte avec ses difficultés, ses envies, ses rêves et ses espoirs, d’où « The Golden Age is over » du début de morceau ;

    Run Boy Run qui est déjà connue mais qui est toujours aussi bien, le genre de morceaux qu’on peut écouter encore et encore sans jamais s’en lasser ;

    The Great Escape qui exprime au final parfaitement son titre. Dynamique, mouvementée et saccadée, elle présente encore un style différent qui fonctionne encore très bien, le violon du début, puis le mouvement saccadé laisse voir un voyage, une évolution de ce fameux enfant qui grandit ; 

    Boat Song, avec sa mélodie d’intro au piano si jolie (qui me rappelle légèrement Baltimore’s Fireflies, dont je suis amoureuse) qui est douce et belle à écouter et qui je pense va être classée dans mes favorites à force d’être écoutée. Puis le reste du morceau, qui fait vagabonder son esprit et penser à des ailleurs ; 

    I Love You, qui me fait toujours autant de frissons que lorsque je l’ai entendue la première fois, avec son dynamisme parfait, ses percussions qui rythment à la perfection le morceau et au final, l’ensemble qui (me) donne envie d’entreprendre de grandes choses, de prendre mon sac et de partir ; 

    The Shore est elle un peu balancée, douce mais légèrement rythmée, profonde avec des pointes nostalgiques, ce morceau est encore une réussite (difficile au final de trouver des points négatifs à cet album… c’est ça quand on attend très fort quelque chose). Elle m’évoque exactement ça, une lente promenade au bord d’un rivage, une balançoire poussée par le vent, quelque chose d’un peu sinistre peut être au fond parfois, mais calme ; 

    Ghost Lights qui reprend légèrement le rythme de Run Boy Run mais en ayant une ambiance assez différente, plus sourde et mesurée au départ puis plus dynamique avec toujours ces tonalités pleines d’espoir qui se retrouvent dans beaucoup de ses morceaux ; 

    Shadows a une introduction que je pourrais presque qualifier de « majestueuse » (pour employer de grands mots), assez

    Stabat Mater est un morceau qui a quelque chose de très guerrier, très puissant et à la fois assez religieux (puisque le nom Stabat Mater vient d’une séquence religieuse qui parle de la souffrance de Marie face à la crucifixion de son fils, ceci explique donc cela) ; 

    Conquest of Spaces qui est différente mais qui répond très bien à son titre, elle a ce je ne sais quoi d’un peu « ailleurs » qui appelle à l’imaginaire, c’est aussi un très bon titre, j’aime énormément l’ambiance qui s’en dégage et les différences de tonalité de sa voix mêlée aux transitions au niveau de l’instrumental ; 

    Falling est la seule transition présente dans l’album, elle a quelque chose de presque angoissant qui tranche avec le morceau qui suit, ce qui au départ peut rendre perplexe, cependant elle colle quand même très bien avec l’ambiance globale de l’album et l’histoire même de l’évolution du fameux enfant cité plus haut ;

    Where I Live quant à elle est aussi sublime, le début (toujours du piano, c’est facile d’aimer pour moi) un peu mélancolique comme il sait si bien les faire, mais aussi pleine d’espoir, un peu comme l’album en entier au final j’ai l’impression ; 

    Iron, toujours aussi bien elle non plus ne change pas et ne réussira jamais à me lasser 

    The Other Side est aussi très belle, un peu plus profonde, presque dramatique mais très bien réalisée.

    En résumé, l’album est réussite. C’est d’autant plus agréable d’avoir enfin réelle matière à écouter plutôt que 3 morceaux géniaux qui tournent en boucle. On a des univers très différents qui pourtant gardent quand même toujours la patte du maître, et à ça, je peux dire que vraiment, je suis séduite.

    En gardant en tête le fait que l’album relate l’histoire d’un enfant qui devient adulte, chaque morceau est à sa place et raconte à sa manière une petite partie du récit à chaque fois, passant de morceaux mélancoliques à d’autres presque plus violents. En y faisant attention tout au long de l’album, je trouve cette idée très aboutie et chaque rebondissement bien à sa place.
    L’album évolue en même temps que l’enfant, passant de cet étape d’enfance donc pour passer à des moments d’espoir, de détresse et de leçons pour finir à l’aboutissement de l’homme qu’il est devenu, un soldat qui part à la guerre. En faisant attention d’abord aux titres, on remarque clairement qu’il y a quelque chose qui est raconté, et rien que pour ça, je lève mes deux pouces en l’air (et je vois Bob Kelso) parce que c’est à la fois subtil et très intelligent.

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  • Mini-Concours {musique}

    Un billet très rapide aujourd’hui puisqu’on m’a proposé de vous faire gagner la possibilité d’assurer la première partie de Max Boublil (il me semble avoir vu certaines d’entre vous parler de lui parfois, alors si ça peut vous intéresser, tant mieux, sinon tant pis ^^) le 22 juin prochain à l’Olympia. Si cette opportunité vous intéresse, vous pouvez tenter votre chance jusqu’au 28 mars via  
    Sinon, de nouveaux billets se préparent pour les prochains jours/semaines, j’ai encore plein de choses dont j’ai envie de vous parler, vous faire découvrir… comme d’habitude en fait, rien ne change :)
    Des bisous et à très vite !
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  • En Février, j’ai aimé :

    En février, j’ai pu découvrir, ou aimé de nouveau certaines choses dont j’ai envie de vous parler aujourd’hui. C’est assez banal comme type de billet, mais j’aimerai bien pouvoir vous en faire assez régulièrement (tous les mois du coup) parce que c’est l’occasion de revenir sur différentes choses que j’ai pu apprécier dans le mois et dont je ne vous aurai pas parlé autrement.

      
    Vous connaissez tous, au moins de nom, la trilogie Hunger Games ? Au tout début quand ils sont sortis, je me suis dit que c’était encore un livre pour ado mal écrit qui faisait un buzz incroyable mais que ça se tasserait. Puis il y a eu le film, qui avait l’air de beaucoup fonctionner. Finalement, je l’ai regardé, et tous mes a priori se sont envolés. Le film est une petite merveille, vraiment. J’avais envie de lire les livres du coup, pour voir si ils étaient aussi bon, et récemment les 3 se sont retrouvés dans mon appartement, du coup j’en ai profité.
    Je les ai clairement dévorés. Ils sont incroyablement bons, l’histoire est géniale et je suis agréablement surprise de voir que le film est presque totalement identique au livre. C’est assez rare pour être souligné. C’est agréable de lire quelque chose qui vous tient en haleine pendant 3 livres sans pour autant avoir la prétention d’être compliqué à lire.
    Finir de lire la trilogie m’a rendue un peu triste, et je n’ai pas pu m’empêcher de verser une larme. C’est le genre de livres où tu t’attaches à l’histoire, aux personnages et où tu te sens tellement dedans qu’une fois la dernière page tournée, tu te sens un peu perdue. Heureusement, il reste les 2 prochains films et j’ai vraiment hâte, j’espère qu’ils seront aussi bons que le premier :)
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    Ce mois-ci, je me suis fait plaisir, j’ai mangé des choses que j’aimais tout en grignotant quand j’avais une petite faim. Et sans y penser, j’ai réussi à regagner un kilo et demi parmi les 3 que j’avais perdu en décembre (merci les partiels). Du coup je vais continuer comme ça, sans pour autant me gaver mais en mangeant dès que j’ai faim, même si c’est à n’importe quelle heure, puisque de toute évidence ça marche comme ça pour moi.
    J’ai notamment pu goûter les 2 Bagels de chez Picard que m’avait conseillé Angéline. L’un au saumon, crème fraîche et ciboulette et l’autre au poulet, tomates séchées, roquette et fromage frais. Ils sont délicieux et dans le 2ème, j’y ai rajouté des cranberries séchées, c’était excellent et vraiment rapide à faire chauffer (je préfère les faire décongeler puis les faire chauffer au four plutôt qu’au four micro-onde).  Ils coûtent 3,50€ et même si on peut en faire soi-même pour moins cher (ce que je compte bien essayer) ils sont pas mal pour leur prix.

    (d’ailleurs je vous parlerai de mes petits encas en cas de fringale soudaine :))

    Comme j’ai eu 1 semaine de vacances, on en a profité pour rentrer chez mes parents, à la maisonnée familiale, pour stériliser le petit chat. Rentrer veut aussi dire bien manger, et bien manger veut dire… tartiflette !
    Cette fois, c’était une tartiflette simplifiée, vu que mon copain n’aime pas les oignons.
    Voilà donc une recette express, en 1h maximum votre tartiflette sera prête et délicieuse :)

    Pour environ 4 personnes :

    – Environ 7 grosses pommes de terre
    – 1 gros Reblochon
    – 250 grammes de lardons
    (- 2 gros oignons
    – 2-3 cuillères à soupe de crème fraîche)

    Il vous suffit de faire précuire vos pommes de terre puis de les couper en rondelles en les ayant épluchées au préalable. Ensuite, répartissez-les dans votre plat avec les lardons, salez & poivrez puis couper en 2 votre reblochon dans le sens de l’épaisseur. Placez les 2 moitiées avec la croute du côté des pommes de terre puis enfournez pendant environ 25 minutes à 200°C.

    Il ne vous reste plus qu’à sortir votre plat du four,, en vous protégeant les mains évidemment, et de vous dépêcher de déguster ce merveilleux plat :)

    Récemment, j’ai eu l’occasion  de recevoir quelques albums et EP divers de la part d’Universal France. Il y avait de tous les styles, et c’est dans les EP que j’ai trouvé des artistes qui m’ont plu. J’aime beaucoup ce genre de format, c’est une sorte d’échantillon de ce que fait l’artiste et bien souvent c’est là que l’on capte tout de suite son style.
    J’ai eu envie de vous parler de quelques uns de ces artistes de façon assez rapide mais précise, pour changer un peu de mes billets habituels. Pour ce genre de sujets, je trouve ça plus simple d’en parler de cette façon, surtout lorsque comme moi on est loin d’être une critique musicale, mais une simple personne qui écoute de la musique pour le plaisir.
    Tout d’abord, j’ai pu découvrir Ulrich Forman que je connaissais vaguement de nom mais sans plus, j’ai écouté son EP I’m In Love qui contenait 5 titres. 
    I’m In Love : Le titre est tout trouvé, le morceau est très énergique, très joyeux. Ses petits chantonnements en fond parfois font vraiment écho au thème du morceau, il respire la joie.
    Give Me The Night :
    How To Know : Je dirais que cette chanson là est mignonne. Elle rentre dans l’ambiance de l’EP, entraînante et gaie tout en ayant des sonorités un peu différente, assez électroniques à certains moments.
    See My Love : jolie mélodie, ambiance apaisante mais joyeuse
    Free : Assez entraînante, comme 2 parties distinctes dans le morceau
    Les mélodies sont agréables, travaillées et douces tout en étant un peu sautillantes. L’EP amène à sourire, fait penser à des inspirations de chez Cocoon (comme l’album Where the Oceans End)
    La présence de piano me plaît évidemment, les morceaux un peu joyeux quoique parfois assez similaire. Sa voix qui change selon l’ambiance de chaque morceau.

    Récemment, j’ai enfin pu tester un des shampoings solides de chez Lush (merci maman !). J’ai choisi le Oceanix, un shampoing à base d’algues et de citron, de mimosa et de jasmin pour rendre les cheveux doux et brillants. Il mousse vraiment super bien et comme tous les shampoings solides, a l’air de durer vraiment très longtemps. Au rinçage mes cheveux crissent toujours et sont super-propres ensuite. J’ai la très mauvaise habitude de me laver les cheveux tous les jours (c’est devenu une manie, si je ne les lave pas je me sens mal) et avec ce shampoing j’ai l’impression de pouvoir presque les espacer d’au moins un jour.
    J’en suis donc vraiment satisfaite et j’ai très envie d’en tester d’autres (notamment le Godiva, le Jonnie Jumper et le Brillantissime).
    Celui là coûte 8,95€ les 100 grammes, mais je vous conseille vraiment de l’acheter sur le site UK. Il coûte environ 5€ là bas. 

    Voilà pour ce mois-ci :) J’ai encore plein de choses que j’ai aimé, mais je vous les réserve pour plus tard.
    En attendant, débutez-bien votre mois de mars et à très vite ! (:
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  • La Mouette se pare d’un nouveau plumage

    J’ai toujours aimé écrire. « Avant », quand j’étais petite et même lorsque j’étais au collège, ou même au lycée, j’écrivais souvent des « histoires », ou des nouvelles parfois. Et j’adorais ça, utiliser les mots pour faire passer des émotions est quelque chose qui me plaît, et même si je peux parfois être hésitante et ne pas utiliser les bons, je me suis créé un style qui m’est propre je pense. Ça a aussi des inconvénients bien sûr, mon style d’écriture fait que je n’écris pas totalement comme il le faudrait quand je dois adopter le style plus journalistique au sein de mes études. Mais je fais des efforts, je raccourcis mes phrases et j’enlève les mots que j’aime utiliser. Ça fonctionne un peu, mais de toute façon je ne serai pas journaliste (Je ne dis pas que je ne serai jamais journaliste puisque l’on m’a toujours appris à ne jamais dire jamais, et comme je ne lis pas dans l’avenir ou bien au fond des tasses de café… je m’abstiendrai à énoncer une pseudo-vérité).

     

    A vrai dire je n’ai demandé de conseils à personne. Comme tout le monde, ou beaucoup de monde du moins, j’ai eu pas mal de blogs, depuis mes 10 ans du plus loin dont je me souvienne. Je suis passée évidemment passée par Skyblog, j’ai utilisé aussi Funblog (la plateforme blog de FunRadio, si si, ça existait, mon pseudo était d’ailleurs Bijoux22 (Pourquoi Bijoux22 ?!), n’allez pas chercher apparemment Funblog n’existe plus), Canalblog, Over-blog, WordPress puis Blogspot. J’ai un peu tout fait je crois, j’aimais bien l’interface de WordPress mais j’ai réutilisé une adresse Blogspot. Je me suis faite à Blogspot, quand on touche un peu au css ou au html, on peut réussir à avoir ce que l’on veut sans pour autant payer, et c’est principalement ce que je recherchais.
    Je me suis lancée, un peu hésitante, j’ai entré mon pseudo, mon mot de passe et puis voilà, mon tableau de bord Blogspot était à nouveau devant moi. Pas tout à fait vide en fait vu qu’il y avait déjà des billets publiés, que j’ai remis en brouillon parce que je voulais tout recommencer. Le blog s’appelait « thelazydream » et je n’ai pas changé son url, pourquoi ? Je n’en sais rien du tout, mais en partie peut être parce que la-mouette, lamouette et autres étaient déjà pris alors… tant pis, il s’appellera La Mouette seulement d’apparence au début, c’est déjà pas mal. En Octobre 2012, j’ai décidé d’acheter mon propre nom de domaine, pour que ce soit plus simple déjà et que le nom du blog & l’url soient « raccords » mais aussi parce que ça fait toujours plaisir d’avoir son adresse à soi.
    Au final je pensais y écrire pendant 2 semaines, puis m’en lasser, comme d’habitude. Parce que j’ai la très mauvaise tendance à me lasser de tout très vite, trop vite. Et là non, 2 semaines sont passées et j’avais toujours envie de m’en occuper, alors j’ai continué, 1 mois est passé, puis 2, puis 3, et au final je suis toujours là et je sais que je n’arrêterai pour rien au monde. Ce blog m’a apporté la maturité nécessaire pour avoir des projets, les aimer et les tenir jusqu’à ce qu’ils soient aboutis. J’adore mon blog et ce que j’y fais, je l’ai rendu personnel et j’essaie au maximum de le faire coller avec ce que je suis. Je m’inspire de ma vie quotidienne, de mes découvertes, de ce que j’aime, de mes expériences, et tout ça font que mon blog me ressemble je crois. Et ce que j’aime aussi énormément, c’est lire vos réactions, constater que tel billet vous a plus plu qu’un autre et chercher à toujours plus écrire des choses qui vous plairont, et pourquoi pas, vous apporteront quelque chose.
    Désormais, ce blog m’apporte beaucoup, aussi bien pour mon écriture que pour les rencontres que je peux faire et les contacts que je peux créer. J’ai l’occasion d’essayer plein de choses, de parler de marques. J’ai un million de projets et ça me rend heureuse.

    Je travaille depuis 1 mois sur ce nouveau design (en fait j’ai beaucoup traîné…), j’avais envie de quelque chose de plus frais et léger mais qui soit toujours accueillant et qui colle avec ce que je propose ici. Quelque chose qui amène le printemps ici et qui le garde en quelque sorte. J’ai envie de changer régulièrement la photographie du header pour apporter de jolies images et de jolies couleurs. Mais j’ai surtout envie d’apporter plus de douceur, de faire en sorte que ce que je raconte colle encore plus avec l’univers même du blog. Et puis comme tout le monde, j’avais envie aussi d’un peu de changement, alors le voilà. Quelque chose de clair et aéré qui j’espère vous plaira (d’ailleurs n’hésitez pas à me dire si la barre de menu est trop claire, je n’arrive pas à savoir sur mon écran si ça va ou non).

     

    Tout ce pavé pour dire qu’aujourd’hui, j’en profite donc pour vous remercier, ça fait maintenant bien plus d’1 an que j’écris ici et je ne me lasse pas, mes journées ne passent pas sans que je pense à ce que je pourrais faire de nouveau sur le blog et de quoi je pourrais vous parler. Sans vous, vos jolis mots et vos avis, ce blog n’aurait évidemment pas pu continuer plus de quelques semaines, et je suis absolument ravie de voir qu’il est toujours là. C’est vraiment très cliché, mais je suis aussi très heureuse que mon entourage soit au courant que je tiens un blog, je suis toujours surprise de voir qu’ils s’y intéressent, qu’ils me posent des questions et qu’ils me lisent. Au départ, je voulais que ce blog soit « caché » et qu’ils ne soient pas au courant de cette page, mais au final je suis bien contente qu’ils sachent ce que je fais pendant mon temps libre. Ça m’aide aussi énormément à continuer et à tenter de me surpasser, et pour ça je les remercie.

    Ce nouveau design est aussi là pour non pas tourner une page, mais continuer d’écrire encore plus, d’améliorer aussi bien le contenu que le contenant. J’ai envie d’y mettre plus d’efforts pour rendre tout ce que j’écris ici agréable à la lecture mais aussi de façon visuelle. J’ai eu du mal à l’installer, parce que j’aimais bien l’ancien design, mais je pense que celui-ci va vous plaire. Et le changement ne fait pas de mal, au contraire.

    J’espère que tout ça continuera longtemps, parce que rien que dans ma propre vie, ce blog m’apporte énormément et m’aide beaucoup à me sentir bien. J’espère que ce que j’y raconte vous aide aussi parfois à vous sentir bien, vous faire sourire ou bien vous inspirer et n’oubliez pas que si jamais vous avez une question, une remarque ou juste un mot à me faire part, vous pouvez m’écrire sur mon adresse mail : lamooet@yahoo.fr

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    Et en bonus, je vous donne ici le 3ème calendrier de cette année, celui du mois de Mars :

     

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    Cliquez dessus pour accéder au calendrier en grand.