Chez nous (comme chez beaucoup) on aime beaucoup faire des apéritifs : ce genre de soirée où l’on boit un bon vin et où l’on picore dans différents plats des encas préparés par nous-même. C’est ces soirées là que j’aime, le lendemain on n’est jamais fatigué et pourtant, la soirée a été si agréable qu’elle aurait pu durer toute la nuit. On discute de choses et d’autres, on est chacun installé sur un fauteuil ou sur le canapé et on refait le monde des heures durant. Pour ces apéritifs, généralement on aime beaucoup préparer du guacamole et des petits bols garnis de choses à picorer pour ne pas avoir faim durant la soirée.
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Soupe à l’oignon et mémoires lointaines
Il y a ces moments qui nous rappellent des souvenirs, des moments associés à des odeurs qui sont elles-même associées à des images. Des images parfois un peu brumeuse, parfois un peu lointaines mais qui lorsque l’on y pense nous ramènent l’exact sentiment que l’on avait pu éprouver à cet instant précis. À ce moment là , ce jour là ou bien cet âge là et qui bien souvent est encore plus fort lorsqu’il appartient à notre enfance. Lorsque l’on regardait alors encore nos parents faire sans trop pouvoir toucher aux couteaux parce qu’un mouvement trop maladroit risquerait de nous blesser ou que du haut de notre toute petite taille, notre nez atteignait à peine le plan de travail où les ingrédients de la recette pleine de ces odeurs prenaient alors forme pour créer ce qui allait être plus tard un doux souvenir.
Gâteau d’automne aux noisettes 100% végétal
Qui a dit qu’un gâteau devait obligatoirement contenir des oeufs pour être bon et moelleux ? Certainement pas moi et c’est ce que je vais vous prouver avec cette bien chouette recette qui n’en était pas une il y a quelques jours : j’appelle ça la magie des dosages au pif et des expérimentations culinaires ! Je vous propose donc aujourd’hui ma recette du gâteau aux noisettes sans oeuf, beurre ou bien lait (de vache), un gâteau 100% veggie qui entre dans le challenge de cette semaine de manger 100% végétal intitulé Défi Veggie.
Nestlé & mon #MatinSansGluten
Je n’ai pas pour habitude de manger sans gluten : je ne suis pas intolérante et n’ai pas remarqué avoir de réels soucis à ce sujet, je suis cependant ouverte à toute nouvelle découverte culinaire et c’est pourquoi j’ai accepté avec plaisir de découvrir ces nouvelles céréales de chez Nestlé (Corn Flakes et Nesquik) dans le cadre du #MatinSansGluten exclusivement conçues pour les intolérants au gluten ou bien pour les curieux comme moi (en plus j’ai eu un bol au nom du blog !). J’ai choisi d’utiliser les Corn Flakes pour vous proposer un encas rapide et délicieux, idéal pour le goûter, pour votre petit-déjeuner ou pour un encas tardif en cas de fringale soudaine.
Ici j’ai choisi de vous proposer deux versions pour une option encas rapide et une option encas rapide mais un peu plus nourrissant (vous saisissez la nuance ?). J’ai souvent pour habitude de me faire des porridges avec des framboises surgelées et c’est quelque chose que j’adore. J’ai eu envie de réadapter mon porridge avec des Corn Flakes pour avoir un bol froid mais tout aussi bon. Un peu de lait d’amande, des Corn Flakes sans gluten, des framboises surgelées (ou tout autre type de fruit, surgelé ou non) et par dessus, du sirop d’érable pour sucrer un peu votre préparation mais surtout la rendre plus gourmande et savoureuse, les aliments sans gluten ayant parfois un peu moins de goût. L’avantage des fruits surgelés est de pouvoir en profiter tout au long de l’année, j’achète les miens soit chez Picard soit dans mon lieu de courses habituel.
En cas de plus grande faim, remplacez simplement le lait d’amande par un yaourt grec plus consistant nature ou bien à la vanille par exemple : ajoutez-y ensuite des fruits secs comme des amandes, des noix, des baies de Goji…
Avec quoi auriez-vous associé ces céréales vous ? Mangez-vous parfois sans gluten ?
Être végétarienne : le jour où j’ai respecté mes envies
Il y a environ 3 ans, j’avais écrit un billet où je parlais de mon poids, où j’abordais vaguement mon alimentation, en bref un billet très personnel (et qui me montre que j’ai tant changé depuis, quand je le relis la différence de mentalité est assez saisissante) qui avait suscité beaucoup plus de réactions que ce à quoi je m’attendais. Aujourd’hui, j’ai eu envie de vous en reparler, mais d’une façon totalement différente, puisque centrée sur le contenu de mon assiette mais aussi plus mature je crois. Cet article traine maintenant depuis plus d’un an sur le blog (il a changé plusieurs fois de titre, passant de « le jour où j’ai décidé de limiter ma consommation de viande » à « stopper » puis enfin à ce terme plus doux qu’est « respecter », ce qui est significatif), mais j’ai voulu revenir sans cesse dessus pour l’affiner, ma pensée s’affinant également au fur et à mesure et ma démarche évoluant de son côté tout au long du temps. Si j’avais encore attendu je suis certaine qu’il aurait encore évolué mais je n’en ai plus autant besoin qu’avant.